Les contes sont étroitement liés à notre enfance et aux souvenirs personnels de chacune et chacun d’entre nous. Ainsi, dans Allemagne - un conte d’hiver, Heinrich Heine se remémore sa nourrice lui racontant l’histoire de la petite gardeuse d’oies et de la tête de cheval qui parle.
Pourquoi aimons-nous Shakespeare ? Parce que c’était un poète populaire. Un poète qui s’adressait à toutes les couches de la population. Son œuvre a énormément inspiré notre théâtre itinérant. Après HAMLET et les SONNETS, Ton und Kirschen met en scène LA TEMPÊTE de Shakespeare.
Le projet THE OPEN DOOR donne à chaque comédien·ne la possibilité d’explorer son propre vécu et de lui donner forme. Des auteurs tels que Shakespeare, Franz Kafka, Joseph Roth, Euripide, Erich Fried, Lewis Caroll, un conte de Charles Perrault, Rainer Maria Rilke et Gabriel Gárcia Márquez nous ont inspirés sur ce thème. Il s'agit d'une création dans laquelle nous abordons des thématiques importantes à l’aide de moyens divers et variés, toujours au plus près du public, pour mieux interagir avec lui.
Le « Prométhée enchaîné » d'Eschyle traite de la résistance à une autorité toute-puissante, d'un prisonnier politique qui refuse de céder. Dans le monde d'aujourd'hui, nous voyons des mouvements libres de plus en plus réprimés par des régimes répressifs, et des prisons remplies de personnes qui ne se laissent pas dissuader de défendre les valeurs démocratiques.
Andreas est un vagabond parisien alcoolique. Un jour, il reçoit 200 francs de la part d’un gentilhomme, dont il est censé faire l’offrande à Sainte Thérèse de Lisieux, dès qu’il ira mieux. La vie finit par sourire de nouveau à Andreas. Il va pouvoir, comme promis, rendre la somme empruntée. Du moins, bientôt, juste après le prochain verre de Pernod…
Un événement qui a eu lieu dans la mine de cuivre suédoise de Falun a inspiré de nombreux romantiques allemands. Un mineur fut enseveli par la mine la veille de son mariage. Cinquante ans plus tard, son corps a été retrouvé intact pendant les travaux miniers. Seule l'épouse du défunt, devenue une vieillarde, le reconnut.
Un homme transporté par un vent chaud jusqu'en Hindustan, une mort suivie d'une résurrection, une haine qui vire à l'amour, un tsunami dévastateur, des grues en plein vol, des souvenirs secrets, le tout en un battement de cils, In the blink of an eye.
Employé comme scribe au sein d’une étude notariale new-yorkaise, Bartleby est un travailleur idéal, dévoué, honnête et calme. Mais à force de murmurer inlassablement la même phrase „J’aimerais autant pas“ (« I would prefer not to »), il finit par déconcerter son supérieur.